Plus qu’une tradition, une institution.
La Fête des Islandais, c'est d'abord une ferveur religieuse. La Vierge est descendue en procession et en chants depuis l'église jusqu'au bassin.
Deux mille hommes ont péri en mer au début du siècle dernier, à la grande heure de la pêche à Islande et à Terre-Neuve. Dans une région où la religion a toujours beaucoup d'impact, les fêtes du souvenir sont d'abord pleines de ferveur émouvante.
la procession de la Vierge, depuis l'église vers les bassins du port, revêtait bien cet aspect. La foule, entourant la vierge, y a chanté sobrement pour protéger les matelots « de la fureur des flots ».
Les fleurs immergées, symbole des marins péris en pêche. Islande et Terre-Neuve ont pris 2.000 hommes à la région.
Et voici trois jolies petites Paimpolaises dans le défilé.
L’après-midi, c’est la plus pure tradition bretonne qui a envahi les rues.
Le bagad de Paimpol a sonné l'aubade toute la journée.
Des danses! Il y en a eu tout l'après-midi, sur scène quai Loti.
et aux Ronds-Points.
Anne prend un peu de repos sous son ombrelle avant de retourner danser.
Le pipe-band de Saint-Brieuc a reçu une ovation du public.
Des quais remplis de monde, ça oui !!
Arrivée a la scène sur le Quai Loti près de la salle des fêtes.
Les places assises sont chères, même en plein soleil! Faut pas rêver ....!
Les danses du cercle celtique de la Méaugon et de Cléguérec ont les faveurs du public.
tous comme les Écossais d’adoption du pipe band de Saint-Brieuc qui impressionnent avec leurs kilts et percussions.
sans oublier,
les Sonerien da Viken de Minihy Tréguier, fidèles aux Islandais.
Au revoir Paimpol, RDV l'année prochaine dans le bleu de l'été.
A venir et à voir le défilé en détails et en diaporama.